Habituellement, le crédit hypothécaire est un prêt que l’on contracte pour financer l’achat d’un prêt immobilier. Dans la plupart des cas, c’est le bien immobilier acheté qui va servir de garantie auprès de l’organisme prêteur. Cependant, personne n’est à l’abri d’un imprévu et de se trouver dans une situation de difficulté de paiement ou de situation d’endettement.
Le crédit hypothécaire est un prêt qu’un organisme financier accorde à un particulier sous réserve d’une garantie constituée par un bien immobilier de l’emprunteur. Par conséquent, si le préteur n’arrive pas à payer la dette à l’échéance indiquée, l’organisme prêteur aura le droit de saisir le bien immobilier hypothéqué. Par la suite, la banque procédera à la vente de ce bien afin de se faire rembourser.
Selon les besoins du prêteur, le crédit hypothécaire peut servir pour financer différents projets. Dans la plupart des cas, les particuliers s’en servent pour financer l’achat d’un bien immobilier. Néanmoins, il arrive aussi que ce prêt soit utilisé à d’autres fins comme l’obtention d’un crédit de trésorerie. Il s’agit essentiellement de crédit à la consommation. C’est pourquoi, depuis l’année 2016, ce crédit à la consommation est considéré comme étant un crédit immobilier.
En fonction de la somme empruntée par le particulier, l’hypothèque peut concerner un ou plusieurs biens. Et parfois, cela inclut, non seulement les biens immobiliers, mais également des biens financiers, et même d’autres éléments constituant le patrimoine du souscripteur. Selon le type de contrat choisi, le crédit hypothécaire peut être à taux fixe ou à taux variable. D’une autre part, le montant du prêt doit toujours être proportionnel à la valeur du bien hypothéqué. De cette manière, l’organisme financier prêteur est assuré de se faire rembourser, même en cas de non-paiement du prêteur.
Juste pour rappel, une personne est considérée comme étant propriétaire, lorsqu’elle est en possession d’un ou de plusieurs biens immobiliers qu’elle utilise comme résidence principale, résidence secondaire ou en location. Selon leurs statuts, il existe trois sortes de propriétaires. D’une part, il y a ceux qu’on appelle les propriétaires en nue-propriété. Dans ce cas, la personne a le droit de disposer du bien et de le vendre s’il le souhaite.
D’un autre côté, il y a ceux qu’on appelle les propriétaires en usufruit. Ceux-ci ont le droit d’utiliser le bien immobilier en question comme bon leur semble et d’en percevoir le loyer si le bien venait à être mis en location. Cependant, ils n’ont pas le droit de le vendre. Et enfin, il y a les propriétaires en plein-propriété. Ceux-ci ont le droit de disposer du bien, de le vendre, mais aussi d’en encaisser le loyer si celui-ci est mis en location.
Il n’est pas rare de voir des propriétaires se trouver dans une situation d’endettement. Par conséquent, ils se trouvent parfois dans l’incapacité de rembourser leurs dettes. Pour se défaire de cette situation, ils sont obligés de passer par le crédit hypothécaire. D’autres raisons peuvent aussi les pousser à contracter ce type d’emprunt. C’est notamment le cas, lorsqu’un propriétaire est acquitté, mais qu’il souhaite financer d’autres projets comme l’étude de ses enfants, pour assurer sa retraite ou autres. Dans ce cas, il se trouve aussi dans l’obligation de passer par un crédit hypothécaire.
Comme nous l’avons déjà évoqué un peu plus tôt, le risque que vous encourez dans ce cas est que, si vous n’arrivez pas à payer correctement les mensualités, le bien immobilier hypothéqué sera saisi, d’où la nécessité de bien réfléchir avant de franchir le pas.
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