L’expression banque centrale de compensation désigne par définition un établissement financier dont la principale mission consiste à compenser les dettes – en titres ou en cash – et les créances entre différents organismes financiers tous membres d’un système défini. Le LCH Group est un organisme privé. À l’instar d’une banque centrale étatique, son rôle consiste à reprendre les positions détenues par des banques ou par d’autres institutions financières sur les marchés. Ensuite, elle entreprend des actions afin de garantir un dénouement sécurisé.
La Banque Centrale de Compensation est active depuis près d’une cinquantaine d’années. La société a été fondée en 1969. Elle est implantée à Paris. C’est une filiale de LCH Group Holdings Limited, fruit d’un regroupement en 2003 à Londres. C’est donc une chambre de compensation issue de la fusion entre The London Clearing House (LCH) et Clearnet. Son siège social se trouve à Londres au Royaume-Uni. Le LCH Group a aussi d’autres filiales en plus de celle de Paris, dont celle de New York. En 2018, Le LCH Group a enregistré un résultat net de 78,7 millions d’euros.
Tout comme les filiales du LCH Group, la Banque Centrale de Compensation offre des services de contrepartie centrale pour une gamme de produits au comptant sur le marché européen. Elle fournit également des produits au comptant dérivés sur des plateformes ou sur les marchés de gré à gré en Europe. La société mère, en offrant aussi ces services, permet d’atténuer les risques de contrepartie dans les diverses catégories d’actifs. La banque fait également office de chambre de compensation concernant les marchés réglementés en France, aux Pays-Bas, en Belgique et au Portugal. Il s’agit surtout des crédits default swaps négociés sur les marchés règlementés ou les marchés traditionnels. En d’autres termes, la Banque centrale de compensation veut se placer en tant qu’intermédiaire entre les agents économiques. Dans une telle position, elle offre ainsi une assurance contre le risque de contrepartie. Ainsi, la chambre de compensation permet d’améliorer la transparence et de diminuer le risque. A cet effet, elle constitue un fonds de garantie en réalisant des appels de marge.
Entre autres, la Banque Centrale de compensation œuvre dans le domaine des opérations bancaires, la gestion d’épargne la gestion administrateur de biens, la gestion judiciaire, la gestion de patrimoine, la gestion de fonds d’investissement. Elle assure également le conseil en fusion-acquisition. En tant que banque de crédit, elle fait fonction d’organisme chargé de compenser les opérations financières sur le marché boursier européen.
La Banque Centrale de Compensation ne commercialise ni des prêts personnels ni des solutions de regroupement de dettes. En tout cas, il peut recourir à un rachat de crédit immobilier en ligne. En recourant à une plate-forme de rachat de crédit sur Internet, l’emprunteur sera en mesure de bénéficier d’un service à la fois rapide et assez précise. Il suffit en effet, de remplir les renseignements via le site de l’établissement de rachat de crédit et de transmettre par la suite le formulaire à ce dernier. Il va alors analyser rapidement le dossier avant de donner une réponse à la demande. Le grand avantage de recourir à ce moyen de rachat de crédit est le fait que l’organisme pourra conseiller son client d’opter pour le regroupement de crédits qui lui soit le plus favorable.
Ainsi, pour le particulier à la recherche d’un rachat de crédits, il est conseillé de passer par le service d’un courtier IOBSP ou intermédiaire bancaire spécialisé en rachat. En faisant appel à ce professionnel, le demandeur pourrait bénéficier de ses conseils et de son aide. Le courtier saurait défendre le dossier de son emprunteur. Il est d’un grand secours pour trouver le taux d’intérêt le moins cher en fonction du profil du demandeur.
La première étape des mouvements de la banque vis-à-vis de l’emprunteur qui demande un rachat de crédit est le premier accord de principe, lorsque son client lui présente le dosser de rachat de crédit, ou celui-ci demande un devis. Cet accord de principe est basé sur plus plusieurs critères qui caractérisent notamment le dossier de rachat de crédit.
Le premier critère est la situation de l’emprunteur selon sa résidence principale : propriétaire, locataire ou hébergé. Les particuliers hébergés ont moins de chance, cependant ils ne sont pas inacceptables, mais les banques, voire les courtiers, priorisent les deux autres situations. Le fait d’être propriétaire facilite l’accès au rachat de crédit, et en 2ème position le fait d’être locataire de sa résidence principale.
Puis, le dossier est caractérisé par le type de contrat de travail du demandeur de rachat de crédit, qu’il soit en CDI ou en position de retraite, ou bien il est TNS en activité depuis plus de 3 ans. Les CDD et les stagiaires ont du mal à obtenir une réponse positive de rachat de crédit.
Puis, l’analyse du dossier concerne les revenus du ménage. Un revenu qui n’arrive pas couvrir suffisamment les charges, d’où un reste à vivre non confortable, risque le refus des organismes de rachat de crédit. Plus le revenu est significatif, plus le dossier a les chances de passer. En général, les organismes prêteur exigent un revenu supérieur à 1500€ par mois, et rares sont les cas acceptés en dessous de ce critère.
Parmi les critères de classification du dossier de demande de rachat de crédit, il y a aussi le fichage à la Banque de France, l’âge du demandeur, l’espacement dans le temps de deux rachats de crédit au minimum 24 mois, le nombre de crédits à regrouper, minimum deux dont l’un est un crédit à la consommation, et le montant minimum à regrouper qui, en général, est de 15.000€.
Le dossier d’une personne qui est déjà engagée dans un rachat de crédit a plus de difficulté à bénéficier d’un nouvel accord, surtout que le montant est relativement gros, sauf qu’elle dispose de très bonnes conditions. A cet effet, il y a des critères spécifiques à respecter.